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p’tit-bonhomme.
d’autant plus rude que les animaux leur manquaient. Un seul cheval et l’âne accouplés, c’était tout ce dont ils pouvaient disposer pour la charrue, le rouleau ou la herse. Enfin, à force de travail pendant des journées de douze heures, ils parvinrent à planter une trentaine d’acres en pommes de terre, tout en craignant que ce travail ne fût compromis par la précocité du prochain hiver.
Alors apparut un autre désastre commun à toutes les contrées