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Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/103

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On l'a donc nommé président,
Qu'il se taise, le pauvre homme !
Ah ! quel avocat abondant !
On l'a donc nommé président !
Et lorsqu'il plaidait, cependant,
On s'endormait d'un si bon somme !
On l'a donc nommé président,
Qu'il se taise, le pauvre homme !