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Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/214

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Elle fait le vœu
De brûler un cierge,

Si son pauvre fils
Sauvé de l’orage,
Revient au pays,
Revient au rivage.

Puis chaque matin
Après sa prière,
Elle dit : demain
Il verra sa mère !

Joyeux matelots
Qui cherchez la dune
Au milieu des flots,
Montez à la hune !

Puis avec un œuil
Tout mouillé de larmes,
Le marin en deuil,
Au cour plein d’alarmes,