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Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/233

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XXXII

Le chien fidèle aboie[1] :
Dans l’eau précipité,
Un pauvre enfant se noie[2] :
Bientôt à son côté,
Le chien saisit sa proie
Avec avidité !
Et quoique son flanc ploie
Sous ce poids respecté,
À sa mère avec joie
Vivant il l’a porté !
Le chien fidèle aboye ;
Par la mère flatté !

  1. Note de Wikisource : aboye corrigé en aboie.
  2. Note de Wikisource : noye corrigé en noie.