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Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/243

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Avait frappé vos cœurs de ces brûlants amours !
La mort les a faits purs ! Elle s'en est saisie !
Ce que saisit la mort est fini pour toujours !
Ils s'aimèrent tous deux sans jamais s'en instruire,
Ils souffraient en silence, ils souffraient sans remords !
Un seul instant tous deux, ils purent se le dire !...
Doux moment... ! mais ce fut le moment de la mort !