heureuse des chances, le cri de l’albatros n’eût frappé l’oreille de Fritz.
« Eh bien, dit le bosseman, maintenant que Bob est dans les bras de sa maman, tout est pour le mieux… C’est grâce à lui que nous avons découvert une seconde grotte… Il est vrai, nous n’en avons que faire… La première nous suffisait, et même nous ne demandons qu’à en déloger…
– Cependant, fit observer Harry Gould, je tiens à savoir si elle ne se prolonge pas…
– Jusqu’à l’autre côté de la falaise, mon capitaine ?…
– Qui sait, Block ?…
– Soit, répondit le bosseman. Mais, en admettant qu’elle traverse le massif, que trouverions-nous au delà ?… Du sable, des roches, des criques, des promontoires, et pas grand comme mon chapeau de terre végétale pu de verdure…
– C’est probable, déclara Fritz. Néanmoins, il est indispensable de voir…
– On verra, monsieur Fritz, on verra, et, ainsi qu’on dit, la vue n’en coûtera rien ! »
Or, de cet examen pouvaient résulter de précieuses conséquences, il y avait donc lieu de procéder sans retard, et la reconnaissance commença à l’instant même.
Le capitaine, Fritz, François retournèrent au fond de la grotte. Le bosseman, qui s’était muni de plusieurs grosses chandelles, marchait