Page:Verne - Un billet de loterie - suivi de Frritt-Flacc, 1886.djvu/212

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'ïï^^^Sr^^^V^?^ rM-: à666ààààà6&àààààààbààly.YK> Volumes in -8 illustrés (suite) ^ « C’est une philosophie ingénieuse que celle qui cherche dans l’étude du plus petit des mondes, du monde des insectes, des leçons applicables à l’univers entier. C’est merveille de voir comment même les petits cotés de la science gagnent à être traités par des écrivains littéraires, quand ils ont su se munir au préalable d’un savoir sérieux et éprouvé. » (Revue Scientifique) « La Gileppe est un roman ... j’allais dire naturaliste, mais il ne faut pas confondre; c’est un roman d’histoire naturelle bâti sur celte simple donnée : les infortunes d’une population d’insectes. C’est de la science amusante, le tout spirituel et d’un très bon style. » CAU VAIN (H.) Le grand Vaincu (le Marquis de Montcalm). DAUDET (ALPHONSE) • • • • • Histoire.d’un Enfant. — ’ Contes choisis. DESNOYERS (L-) Aventures de Jean-Paul Choppart. GENNEVRAYE Théâtre de famille. — . . La petite Louisette. GRIMARD (E.) La Plante. HUGO (VICTOR) Le Livre des Mères. LAPRÂDE (V. DE). . . Le Livre d’un Père. — * @ ♦ 4- w Ta Wxt h (tyaîtèjje àws tous h% fap ANDRÉ LAURIE. Mémoires d’un Collégien (Dnljcé» ie ittuimiol). — La Vie de Collège en Angleterre. — Une année de Collège à Paris. — Un Écolier hanovrlen. — Tito le Florentin. — -J- Autour d’un Lycée Japonais. Francisque Sarcey a consacré dans le XIX’ Siècle et le Gagne-Petit, à chacun des livres qui composent cette série, une étude spéciale. Vt <t .Notre ami Hetzel, écrivait-il au mois de décembre 1885, a commencé une collec- tion bien curleuseet dont le titre générique suffit à indiquer l’intérêt. Chaque année, il parait un volume qui nous transporte dans un pays différent. Il y a quatre ans, nous étions en France, l’année suivante on nous^a menés en Angleterre; l’an d’après, en Allemagne. L’ensemble des volumes, dont ce’.te série doit se composer, formera une étude assez complète des divers , systèmes d’éducation suivis par chaque nation. a Tous ces volumes partent de la même main ; ils sont de M. André Laurie, qui me parait être un universitaire fort au courant des questions pédagogiques, et qui n’en est pas moins un conteur agréable et un écrivain élégant. C’eslchaque année un régal attendu par moi de recevoir et de déguster.son volume. » Francisque Sarcey. — * $> & — Iles Romans d’aventures ANDRÉ LAURIE f Le Capitaine Trafalgar. — L’Héritier de Robinson. J. VERNE ET A. LAURIE. . . . L’Épave du Cynthia. STEVENSON ET A. LAURIE. . L’Ile au Trésor. I propos de l’Épave du Cynthia, M. Ulbach écrivait les lignes suivantes : « La collaboration de MM. Jules Verne et André Laurie ne pouvait être quu féconde. La science de l’un, l’observation de l’autre, les qualités littéraires des deux collabora- teurs font de ce livre un des plus émouvants de la collection nouvelle. i> « Il y a peu de livres plus nourris de faits, plus substantiels, et d’un intérêt mieux soutenu que l’Épave du Cynthia, n a écrit M. Dancourt dans la Galette de France. « Plus sombre, plus terrible estl7/e au Trésor, roman popularisé en Angleterre par des milliers d’éditions, et dont la maison Hetzel s’est assuré le droit de traduction exclusif. On raconte que M.Gladstone, le grand homme d’État, rentrant chez lui, après une séance agitée, trouva, par hasard, sous sa main, l’Ile au Trésor de Stevenson. Il en parcourut les premières pages, et il ne quitta plus le livre qu’il ne l’eût achevé. C’est que ces premières pages sont un chef-d’œuvre d’exposition mystérieuse, d’attractions captivantes... » LEGOUVÉ Nos Filles et nos Fils. — La Lecture en famille. MACÊ (JEAN) . - . . Contes du Petit-Chateau. — Histoire d’une Bouchée de Pain. K?^ — Histoire de deux Marchands de pommes. — é Les Serviteurs de l’estomac. — . Théâtre du PetilrChâteau. MALOT (HECTOR) Romain Kalbrls. MARELLE (CH-). . . • Le Petit Monde. |V §, lasfe--"--" •’ J