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EN ROUTE
À l’exception du géant qui veillait… (Page 162.)
— Moi aussi, je veillerai ! ajouta le petit Jack, dont les paupières se fermaient déjà.
— Oui, mon Jack, oui, tu veilleras ! lui répondit sa mère, qui ne voulait pas le contrarier.
— Mais, dit encore le petit garçon, s’il n’y a pas de lions, s’il n’y a pas de tigres dans la forêt, il y a des loups !
— Oh ! des loups pour rire ! répondit l’Américain. Ce ne sont pas même des loups, mais des sortes de renards, ou plutôt de ces chiens des bois que l’on appelle des « guaras ».
— Et ces guaras, ça mord ? demanda le petit Jack.