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Page:Verne - Un capitaine de quinze ans, Hetzel, 1878.djvu/194

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UN CAPITAINE DE QUINZE ANS


Dick Sand se précipita, le coutelas à la main. (Page 183.)

forêt ! Et ces fourches, ces chaînes, ce couteau de forme singulière, c’étaient les engins du marchand d’esclaves ! Ces mains mutilées, c’étaient des mains de captifs !

Le Portugais Negoro et l’Américain Harris devaient être d’accord !

Et ces mots terribles, devinés par Dick Sand, s’échappèrent enfin de ses lèvres :

« L’Afrique ! L’Afrique équatoriale ! L’Afrique des traitants et des esclaves ! »


fin de la première partie.