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un capitaine de quinze ans.
forêt ! Et ces fourches, ces chaînes, ce couteau de forme singulière, c’étaient les engins du marchand d’esclaves ! Ces mains mutilées, c’étaient des mains de captifs !
Le Portugais Negoro et l’Américain Harris devaient être d’accord !
Et ces mots terribles, devinés par Dick Sand, s’échappèrent enfin de ses lèvres :
« L’Afrique ! L’Afrique équatoriale ! L’Afrique des traitants et des esclaves ! »
fin de la première partie.