Page:Verne - Un neveu d’Amérique, ou Les deux Frontignac, 1873.djvu/12

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Carbonnel.

Un de mes clients, peut-être ?…

Marcandier.

En effet.

Tous Deux.

Enchanté, monsieur, enchanté !

Carbonnel.

Savez-vous où nous pourrions saluer le maître de la maison ?

Imbert.

Monsieur Roquamor ? Dans le grand salon, sans doute.

Marcandier.

Il doit y être.

Madeleine, à part.

Et Savinien aussi, j’espère ! Il m’avait bien promis de se faire présenter !

Carbonnel.

Allons, ma nièce. (Il lui prend le bras.)

Marcandier et Carbonnel, même jeu que plus haut.

Enchanté, monsieur, enchanté ! (Sortent Carbonnel et Madeleine. Peu à peu la foule s’est divisée et les invités sont passés à droite et à gauche)


Scène III

MARCANDIER, IMBERT.
Marcandier.

Il est charmant ; mais je voudrais bien m’en aller.