Page:Verrier - Essai sur les principes de la métrique anglaise, 2e partie, 1909.djvu/40

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d. m. i. it. ^ — a. m. i. s. =L ~

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].c rythme est très sensible. On en remarque à peine le légei- ralentis- sement.

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7 I

(1. 1)1. 1. s. —


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12


i() traits verticaux, formant i8 intervalles.

J'avais tracé deux points h un intervalle que je croyais de 5 millimètres; il a réellement 5'""',3.

Intervalles obtenus : '),,> — 3 — '\.\ — /|.i) — 'i,3 — /i,S — 'i.,'). — .") — '),', — :> — 'i.(.) — ^i-i — '\,\ — '\.> — '\ — \-'> — '»..") — '\.

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1 = 5,4 =

Ici encore, le rvlhmc est très sensible. On eu remarque à peine la légère accélération.

Le jeune dessinateur a observé île lui-même qu'il battait la mesure de la main et de la tète : il prenait donc un rythme temporel pour guide ou tout au moins pour contrôle du ivthme spatial. Xous verrons, d'ailleurs, que si le rvthme peut être spatial par sa forme objective, il se ramène tou- jours pour nous ;i un rythme temporel.

i; 25. Conclusion. — Dans ces cinq expériences, la différence moyenne

entre les intervalles et lunité est ( 1 h H 1 1:5 ou — de

\ I f) Il II I O 12/ 12

l unité ; la dilFérence movenne entre intervalles successifs est ( 1

I 1 I \ . i , . . . \ï7 7

-| H 1 ): .) ou de 1 unité. Dans les trois dernières, nous trou-

12 G 12/ 9

1 I T ' 1 C

vous respectivement — et 1. erreur movenne est donc assez torte.

1 1 9

.]'ai déjà fait observer qu'au point de vue de la comparaison des intervalles

mes deux sujets étaient placés dans des conditions plus favorables que s'il