Page:Viard - Grandes chroniques de France - Tome 9.djvu/97

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

rut sanz hoir de son corps ; pourquoy mut grant discort entre Charles de Blois et le conte de Monfort pour avoir la devant dite duchiée de Bretaigne.

Le xxix, comment les treves furent alongiées entre le roy de France et le roy d’Angleterre et les Flamens ; et comment le pape Benedic mourut, et après lui fu fait pape Clement le VIe ; et comment les cardinaulx vindrent en France pour traictier de la paix des ii roys.

Le xxx chapitre fait memoire de la fourme des trêves et du traictié fait entre les ii roys par les cardinaulx.

Le xxxi, comment dissencion se mut entre les barons de Normandie, et coment ceulz d’Orliens pristrent blez qui estoient en nefz sur la riviere de Loire ; et comment le roy de France envoia à Orliens le sire de Ham pour faire pendre ceuls qui ce firent.

Le xxxii, comment les faux seelleurs orent les poins copez ; et comment monseigneur Olivier de Clichon ot la teste coppée és halles de Paris et pluseurs autres chevaliers et escuiers de Bretaigne et de Normandie ; et comment il fu grande chierté de toutes manieres de vivres pour la mutacion des monnoies.

Le xxxiii, comment Henry de Malestroit, clerc du roy de France, fu mis en l’eschielle ou parvys devant Nostre Dame de Paris, et puis fu mis en une des prisons de la court à l’evesque, laquelle est appellée oubliete, et leenz mourut.

xxxiv, comment les Gascoins et les Bourdelois briserent les treves entre les deux roys ; et comment toute la baronnie de Haynau fu desconfite en Frise.

Le xxxv, comment le conte de Norenthon principal