à la gloire éphémère d’un jour, à la notoriété, à la célébrité, à la pérennité, parce que, dans sa soîf d’idéal et d’absolu, il sent, il voit que l’éternité lui échappe, me paraît un profond philosophe.
Il faut voir les choses de haut pour raisonner avec cette liberté d’esprit, avec cette grâce aimable, pour se mouvoir ainsi, sans avoir le vertige, dans l’ambiance même de ces redoutables problèmes qui se poseront toujours à l’esprit interrogateur et curieux de tout être pensant, dans le temps, dans l’espace !
Aussi bien, voilà une spirituelle leçon de philosophie transcendantale qui n’a pas dû être tout à fait perdue pour les entrepreneurs de pompes funèbres qui l’ont entendue !
À moins que vous n’aimiez mieux : contraria contrariis.
Pour moi, cela m’est tout a fait égal, et ce sera tout uniment ma conclusion !