Page:Vicaire - À la bonne franquette, 1892.djvu/132

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Le cœur éploré,
Deux amants de Sèvres
Unissent leurs lèvres
De biscuit doré ;

L’empereur de Chine,
Heureux et vermeil,
S’esclaffe, un soleil
Au bas de l’échine,

Et tout à l’entour,
Fine comme l’ambre,
Rôde par la chambre
Une odeur d’amour.


II


Les heures légères
Passent en dansant ;
Tel un chœur décent
D’accortes bergères.