L’Épée.
La République des lettres, 2* série, 4* livraison (chiffrée troisième, par erreur), 14 janvier 1877, tome III, p. 97.
A Claudius Popelin.
Ce sonnet a paru, pour la première fols» dans L’Artiste, l«r trimestre de 1868, p. 252; 11 a été réimprimé dans l’ouvrage suivant : Les Vieux arts du feu, par Claudius Popelin. Paris, Alphonse Lemerre, éditeur, M, passage Choiseul, 47, mdccclxix (1869), in- 8. Il occupe la p. xi non chiffrée ; il a pour pour titre, comme dans L’Artiste : A Claudius Popelin,maître émailleur; il a figuré ensuite sous le même titre, p. 46, dans cet autre ouvrage du même auteur : MDGCdLxxv. -^ Cinq octaves de sonnets, par Claudius Popelin. PaHs^ Alphonse Lemerre, passage Choiseul, Si, in-8. V. Le Parnasse contemporain, 1876.
Émail.
Revue de Paris et de Saint-Pétershourg, 15 mai 1888, p. 149. Manuscrit de l'auteur reproduit en fac-similé. V. Anthologie des poètes français du XIX* siècle. Rêves d’émail. La Nouvelle Revue, 15 février 1893, p. 785.
Les Conquérants
Les Conquérants.
Ce sonnet a paru, accompagné d’une eau-forte de Claudius Popelin, dans l'ouvrage suivant : Sonnets et eaux-fortes, mdccclxix. Alphonse Lemerre, Paris, in-fol. V. Le Livre des sonnets, 1875, et Anthologie des poètes français du XIX* siècle.
Jouvence.
