Page:Vidocq - Les Voleurs - Tome 1.djvu/148

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12 CHE Pourvu d’un nom, faspîrantdoit •e pour+ voir d’un tailleur. Ses habits, ooupés dans ls dernier goût, sortiront des ateliersdellumanà, de lhrdeou deühevœuil : le rœte à Pavenant ; ikpreudrasesgnntsohen Vallumsonohapeau chez Bandoni, ses bottes chez Concanon, sa canne chu Thomassh ; il ne se servira que de i’•ulnrdsdsl’Inb, otd0 moochoirsdsüm huile ; il oœssrterales oigarœ dans us boite élegante, des magasins de Susss on de Giroux. Fllsélogera dans une des rues nouvelles d• la Ghaussee-d’Antin. Dés msublm de palis« sandre, des draperies élégantes, des brumes, du globes mngniüques, des tapis de Lanornaii, garniront ses appsrtemens. Ssscherauxseront anglais, son tilhuryxlu earrossicrù la mode. Bon domestique ne sera ni tropjenne ni trop vieu1 ;·pex•spi :1aos, ·pr6voy•nt, audsoieu et lluet, il saura, à propos, parler dèsprropuiétés de monsieur, doses rieltss ot vieux parano, eutt, em... ’ Lorsque Ysspirànt sssœa procuré tout œla, sanulébourœr un sou, ilsungqué •¤•é|¤¤· rons de chevalier,