Page:Vidocq - Les Voleurs - Tome 1.djvu/155

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Un @l’üBl’(IIIlI}Ãll8\lII$li’lâ »|llI¢ë18 néonsùéfm chevdier d'induttrie, aussi lasien sut choyé, adulé, et surtout gétéreusunent payé.

Lorsque tout esses mesures IIIII prhes, le chevalier entre en lice et attaque fennçnri avec l’espoir du succès ; alors les marchands et les fournisseurs attendent dans son antichambre v qu’il veuille bien les recevoir ; quelquefois même un escompteur délicat apporte lui-mêtne de l’argent au grand personnage ; à la vérité, cet honnête usurier vend ses écus au poids de-I’or, il ne prend que 4 ou 5 p../° parrnois, et l’intérêt en dedans, de sorte que l’emprunteur ne reçoit que très-peu de chose, mais · toujours est-il qu’il reçoit ; tandis qu’il est positif que le marchand d’argent ne recevra jamais rien. ’ ’

CHEVRONNÉ (Eme), v. pf ; Etrè en récidive, être uotë comxné voleur. ’ ’

CHIBRE, s. m. ─ Membre viril.

CHICANE, v. a. (Gmncanr A LA). 44 : Les Gnhclakscun à la chëam sont les plus adroits Yihurs, ceux qui travaillant sans compères. Ils Itplàïl GBVBBI. NIB personne, Iiettent lèur main derrière eux, et de cette manière lui volent ou sa montre ou sa bourse ; certes, ce