Page:Vidocq - Mémoires - Tome 1.djvu/76

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n’étaient pas de mon côté. Par égard pour son ami Chevalier, il m’engagea cependant à ne pas rester plus long-temps à Arras, et comme je craignais que le vent ne tournât, comme j’en avais eu tant d’exemples, je me promis bien de déférer le plus promptement possible à cet avis. Ma mission remplie, je pris congé de tout mon monde, et le lendemain au point du jour j’étais sur la route de Tournai.