Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/140

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’\ ne ntxonzs —· » LE oançou DE CHANTIER. Allons, Mon’ » sieur Tarmal Talma) ’· — » Luxnnnn. Est—’ce que je peux jouer seul ? U — » Rousse Lor. Nous t’aiderons, mais ç I » qu’elle pièce ? · ° — » Dvnmsson. La pièce de César, tu sais bien ous qu’il y en a z’un qui dit ; le premier sa qui fut roi fut z’un sorda, zheureux. — » Lavuzmin. C’est pas tout ça, il faut jouer n la pièce de ïâklocq enfoncé après avoir vendu ’. » ses frères comme Joseph. » · Je ne savais trop que penser de cette singulière boutadejcependant, sans me déconcerter, je m’écriai tout-à-coup, c’est moi qui ferai Vidocq. U On dit, qu’il est gros, ça fera ma balle (ça me convient ’ ’ — tc T’es gros, me dit Lenoir, mais il est bien plus gros encore. ’ — » C’est égal, observa Lapierre, Jean-Louis n’est pas trop mal comme ça ; va, il pèse son ’u » p0Ã(lS.— » Allons, il ne faut pas tant de beurre ’ - » pour un quarteron, se prit à dire Rousselot u en transportant une table dans un des coins de la chambre. Toi, Jean-Louis, et toi, Lapierre,