Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/154

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1 :0 ’nànoxnnn ’iœ Contemple ton ouvrage, me dit Lapierre ; te voilà coment, gredin -4 » Je’n’ai du inoins aucun reproche à me faire, ce n’est pas moi qui vous ai recominandé n de voler. Ne m’avez-vous pas appelé ? Pourquoi êtreisi conflhnt.sPQuand on fait un métier ai comme le vôtre, il faut’un peu mieux se te·¤ n nir sur ses gardes., ’ ·—· » C’est égal, dit Commery, t’as beau en coquer (dénoncer) tu f abat iras au pré (tu retourneras aux galères). P — » En attendant, bon voyage ! Retenez ma place, et si jamais vous revenez à Pantin (Paris), ne vous laissez plus prendre au traà quenard. n’I ’ Après cette riposte, ils se mirent à converser entre eux : i ’ ’ « Il se f... encore de nous, disait llousse·= lot ; c’est bon, je lui garde un chien de ma · si chienne. P’I · — n Pour ton honneur, ne parle pas, lui répliqua le garçon de chantier, c’est toi qui l’as amené. Puisque tu le connaissais, tu devais savoir qu’il éta :} à la mangue (capable de on trahir · ’ — » Eh ouil c’est Rousselot qui nous vaut