un vinocç. III — » Comme tu dis, mon homme, repartit Yescamoteur en se frottant les mains. — » Ce n’est pas Yembarras, il y a de quoi mordre ; et puis l’odeur, elle est fameuse, c’est-t’i alléchant !". Co sacré Jules · ! c’est là faire à lui. ’ — » N’est-ce pas que je m’y connais ? · — ·> C’est vrai ; qu’est-ce qui découpe ? d’abord je ne faisrien, moi. À- » Bien entendu, nous te servirons ; il y a-t-il, un couteau dans la cassine ?. — » Oui, cherche dans le tiroir de la com-mode. ’ Je trouve en effet un couteau ; maintenant, il s’agit’de trouver un prétexte de sortie pour Gaffré. « Ah, .ça, lui dis-je, pendant que je mettrai le couvert, tu vas me faire un plaisir, c’est d’aller dire chez moi qu’on ne m’attende, pas pour dîn’er. \ \ — » (Test ça, et puis vous me casserez le. ventre. Ohl non, pas de ça, je ne quitte pas la place avant d’avoir gobé les vivres. L- » Nous ne les goberons pas sans boire. — » Aussi vais-je faire monter du liquide. — » Il ouvrela croisée etappellele marchandai Tom : 111. 1 1
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