Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/194

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I ’ 1°• B nùncmns, — » Je sais bien, mon pauvre Jules, que tu as été Forcé d’entrer à la boutique plutôt au que de retourner au pré (bagne). C’est tout de même, à la boutique ou non, je suis brave ; et si j’avais quelqu’un à faire de la peine, ce ne serait pas à Hotota Z ’ — » T’:-1s bien raison, mon pauvre lapin, I. » Faut jamais trahir les camarades ; et mon homme, dis-moi, où donc qu’il est allé avecsa... ? (Molière eût dit le mot, le lecteur le’ cherchera)., — » Veux - tu le savoir ? ils sont allés sc ai piuusser (se coucher) chez Bicêtre. Par ’n exemple, je ne te donnerai pas l’adresse, car je ne l’ai pas demandée. — n Ah ! ils sont chez Bicêtre ! c’est bon, mn c’est bon.... Je vais joliment te les révolter. — » J’irai avec toi ; c’est-ti-loin qui de »Ã meure ? v —· xp Tn connais la rue du Bon-Puits ? - » Oui. ’ ’ I — » Eh bien ! c’est là, chez Lahire, au quatrième. I Sois tranquille, elle portera de n mes marques. Jules, as-tu une pièce de six ’ » liards, que je lui taille des soupieds sur la jiinzousse ? ’.-