Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/291

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un vxnocç. au - » Sûrement je sais à qui ; au fondeur ’ du passage Feydeau, pour qu’il brûle les broderies. ’ — » Allons, ne vous désespérez pas, il y a peut-être du remède, si le fondeur est un honnête homme.... · » Perrin, faisant un saut = « Vingt-cinq U ’ mille francs de flambésl vingt - cinq mille ’ francs ! ça ne se trouve pas sous le pied d’un ’ » cheval ; mais pourquoi aussi me suis-je tant · pressé ? Si je m’en croyais, je me ficherais des coups. ·l — »’ Eh bien, moi, si j’étais à votre place, je tâcherais tout simplement de ravoir ’>> les broderies avant qu’elles soient mises au ’qu creuset.... Tenez, si vous voulez, je me. charge d’aller chez le fondeur, je lui dirai v · » qu’ayant trouvé le placement des broderies Pour des costumes de théâtre, - vous désirez les racheter. Je lui offrirai un bénéfice, et probablement il ne fera aucune difficulté de me les remettre. »-Perrin, jugeant l’expédient admirable, ao- ’ eepta la proposition avec enthousiasme, et l’agent, pressé de lui rendre service, accourut ’ pour me donner avis de• ce qui s’était passé.