Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/385

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nn.·vmocQ.. ’azz. LE cnEvAmEn. » Moi l monsieu1·, · Dieu, m’en U gàfdêl MOI. » Eh bien ! ne demandez donc pas l’im-i possible. ’ · Sm VV1LsoN. » Llimpossible ! jusqu’à ce que ii, la police- de France, qui n’est qu’uné insti.·. tution ténébreuse, une machination perpétuelle, ait cessé d’être l’espionnage, et soit devenue la force visible pour le maintien de l’ordre public et de la sûreté de tous. »-UNE ANçLA1sE. (au milieu de trois’ou, qua-à tre officiers en demi-gsolded quiiparaissent lui faire leur cour, peut-être était-ce’lady’OWinè son). « Le général entend toutes ces choses à I merveille. ’ · i ’. UN ons OFFICIERS ; » Ah l voici le général Beauào ’ ’ » fort, avec la famille Picard. LADY OWINSON. » Àh lbonjour, général ; je dois vous faire ·mes compliments de condo’ » IÉHIICC’, car on m’a-com ;é.lZvénement de votre tabatière : chez nous, il y a un.vieux proverbe qui dit, qu’il’vaut nzieux S, éV8I:”6I* sous la table de la taverne que de S,6$POS6I’ à-dor·’ » mt} dans Ie fossé. ’ · LE GÉNÉRAL (avec aigreur). » (Yest une leçon qui aurait pu proûter au boucher.