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Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/412

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’son ninomu a s’empoisonner ; je lui iis retirer le tabac qui lui restait, et e prescrivis de ne le lui rendre que par petite partie, à condition qu’il se bornerait à le mâcher. Pons se soumit à Yordonnance, il n’ava]a plus de tabac, et il n’y ent pas apparence que celui qu’il avait avalé lui eût fait le moindre mal. ’