1.10 xiioinis
— » Quoi ! il ne s’est pas défendu !... Hein, vois-tu, , Raoul ? il ne s’est pas défendu ! — » Ces terribles ·—là, ils ont une grande bouche, mais ils n’avaient que les petits mor’ » ceaux...
— » Les renseignements que vous m’avez donnés, leur dis-je, n’ont pas été perdus. » Avant de partir de Versailles, je voulus par reconnaissance procurer une distraction aux
’deux prisonniers, en les faisant dîner avec moi. Ils acceptèrent avec une satisfaction marquée, et tout le temps que nous passâmes ensemble, je ne vis plus sur leur front le plus léger nuage de tristesse : ils étaient plus que résignés, je ne ’serais pas surpris quiils fussent redevenus honnêtes gens, leur langage semblait du moins Yindiquer. « Il faut convenir, mon pauvre Raoul, disait Court, que nous faisions un fichu métier. — » Oh l ne m’en parle pas ’: tout métier qui fait pendre son maître......
— » Et puis, ce n’est pas tout ça, être dans sa des transes continuelles, n’avoir pas un’instant de tranquillité, trembler à Yaspect de ’ » chaque nouveau visage. -.
-·— xx, C’est bien vrai, partout il’me semblait voir des mouchards ou desigenclarmes dégui-