Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/113

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Brest, où, à la suite d’une demi dotizaine d’éva-sions qui n’avaient abouti qu’à le faire serrer de plus près, il est mort dans un affreux état d’épuisement.

Beaumont jouissait parmi les voleurs d’une réputation colossale ; et aujourd’hui encore, lorsqu’un fanliaron sàvajïte de. ses hauts-faits : Tais-toi donc, lui dit-on, tu n’es pas digne de dénouer les cordons des souliers de Beaumont. » En effet, avoir volé la police, 11’était-ce pas le ’ ’comble de Yadresse ? Un vol de cette espèce n’estil’pas le chef-d°œuvrc du. genre, let peut-·il so faire qu’aux· ’yeux des amateurs, son’auteur ne soit pas un héros ? qui oserait se comparer à lui ? ; ;Beaumont avait volé la police ll ! Pendswtoi O brave Crillon l’pends-toi Coignard, pehdezvous Pertruisard, pendez-avons Collet, ·.p. ; zès de lui vous n’êtes’que de la Saint-Àleanf’Q1i’est-ce. ’d’avoir volé des états de service, de s’êtrepemparé du trésor de l’armée du Bliin, d’avoir enlèvéla caisse d’une mission ? Beaumont avait volé ’ la Police, "pendèz·=-vous, sinon allez en Angleferi’è.·. on’vouspe11·drà’. ’ ’· ’ B

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