Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/117

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mestique ; près de terminer cettejexoursion pastorale, elle est accostée par un étranger qui, dans l’attirail d’un disciple des Linné etsdes Tournefort, l’aborde, tenant d’une mainson chapeau ’ etde l’autre une plante. ’

’.«:Vous »”voyez.devan“t vous, mad :.-1me, un amant de la nature, de cette belle nature dont furent éprises toutes les-ames nobles et

» tendres ;.la botanique
·voilà ma passion, elle

», fut aussi celle, (lu sensible ·Iean — Jacq !-1<âS y du vertueux Bernertlin de Sa.int »— Pierre. A. l’exemple de ces grands phîlosophsâz ÃB cherche des simples, et si je ne me trompe je serai assez., heureux pour.en~ rencontrer dans ce canton de bien précieuses ;·ahl mae dame, il seraità désirer pounle bien dBJ·, lILl¤ manité, que tout le monde con nùt les vertus de celle-ci. Connaissezvvqug cette herbe ? — » M3 fûi, lT1011S.l€\1I“, . lïzest P@B.l«Tè$ l’aI’C dans les environs ; mais je vous avouerai rnon ignorance : je ne sais ni son HOH1 ni- ses propriétés., x

Elle n’est pas très rare ? dites-vous, ô fortune pays ! elle n’est pas très rare ! Seriezvous assez bonne pour m’incliquer les endroits ’ où elle croît le plus a.hon(lamment ? ;