Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/123

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’ ( ar oh l’les coquins l oh ! les misérables lMais bougez-vous donc, Marie, bougez-·vous donc ! vous êtes là comme une momie. Allons, elle ne s’émouvra pas, la malheureuse l Est-ce du lait qui coule dans vos veines ? — »— Mais, madame, que voulez-vous que · je fasse ? ’ ’ — » Ce sera encore une de vos gentillesses. J’ai beau vous recommander de fermer les I » portes ; tandis que vous aurez tourné les talons, on sera entré dans Ia· salle à manger. C’est cela ; à notre retour’, le verrou de sûreté n 11’était-il pas mis comme à notre départ ? regardez, moi, si jamais on me vole, je rêponds que- ce ne sera pas de ma faute : que faille, que vieune, que j’entre, que je sorte, ’ mes clefs ne me quittent pas »: mais vous..l ou Six mille francs d’argem : erie..... une belle ’ journée que vous m’aven fait faire là. Je ne sais ’ » à quoi il tient queje vous... Tenez, ôtez-vous de devant mes yeux ;ô1 : ez-vous, vousdis-je. n Marie épouvantée, se sauve dans une pièce voisine ; mais aussitôt revenant sur ses pas, , elle jette un « Dieu !’votre’clnambre est ibrcée, le secrétaire est ouvert, .1 : ont est sens d8$S\l., ’¥ d8SSO\1$. ix 8.