Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/157

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« Monsieur n’e’st pas visible. •. -· » Jemeurs defaim... ·...

1-:- » Monsieur estâ table, et il nîentendjîaszë ’ qu’on le dérange pendant son dîner. ·.3., —·· » Mon Dieu I sfil pouvait avoir bientôt ûni.... Quand pourrai-je revenir ? ’, — » Vous reviendrez demain..

— » Demain

»- »· » Pas avant midi, entendez-vous ? plus ».môt, Monsieur ne reçoit’persœme., .. ; — » Ah l faites’au moins que je puissele, ’voir ce soir, vous me rendrez la vie. sa On vous a dêjâzdit que c’esti1upO$Sîbl£ ;.· J1 retirez — V0\1S·, et 11Q, ü »0H&î’@·mP@Z·Pa$ la têzii-i’ davantage. j ». . · · :

Adèle sort ; à peine a-·t-elle franchi le seuil — d’une porte qu’on referme avec humeur, ses. jambes fléchissent : suus elle’, elle essaie de faire ; quelgnespas, savue sbbscurcit, elle chancelle, elle tombe, · et dans sa chute sa tempe va frap- · per contre une borne. « Arrêtez l cocher, arrêtez, vous allez l’écraser... — FOlICÈl.€Z donc ! » avez-vous des ordres à recevoir de çeite canaille ? fouettez, i vous dis-je », commande d’une voix aigre.et sëche. une douairière, dont Yêquipage brûle ·le· pavé. =-« « Les callailless