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’— « Ah ça, dites ; donc, § vous autres, crie, un gros homme à chereux poudrés età· culotte I » courte, qui s’avauœ nonchalamment appuyé sur ·un Balai. Aurez-veus ·b1sm ;@>z débarrassé ’ ’la· porte ?’ ·— Qu’est-Lee.Èqi1’il -dit, . celui-làP ’ A-Je dis que vous’allez vous retirer. ·—·’l¥ous retirer ! est-ce ques la ; rue est à··lui par ’. » hasard ? -=— Ah. ! je ne miétonne plus, -ciest mam’selle qui ·it ses giriesna-«’Tais·=toi, vilain’marloü ; el]e est plus respectable quetoi,
° » ·mam’sel]e xïailleurs neus sommes sur le ’ » pavé (l\l¢«I’ol. — En attendant, · elle va s’ôter de dessus-ce banc. » Il Veut percer la foule, en-le1’epensse... -5-(< Ah ! ah ll oh ! oh ! uhl uhl — Ihl ilil A· la chiant li1 :, lit-elit.-+C’est bon, c’est bon, nous verrons ; il faut que je vide mes ord\1res. T s- ordures 1 ordures toi-même. T—« Ah ! ah ! nhl —e— Vous ne voulez pas : rira ».bien quirira lezdernier. » ·
Il Ãrétregràde de deux pas, et pousse légère-=· menf.’la porte. « Manette, tire un seau d’eau, n en apporte - le =moi., que : je lave tout ça. 1—· Ah gredin l- tu veux. nous baptiser ; tu crois qu’nn.ne t’a.·pas.entendu.:— viens ici que ’ · » ie te dêbafbôuille. -e-G—ueusard, je te tiens. —Oui, oui i, trempez lui la margoulette dans