Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/176

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’ un uinoun pour qu’un hôpital remplisse sa destination., ou doit y être admis à toute heure. ·’ Le snncnwr. » Je vous demande pardon, capitaine, mais vous êtes dans l’erreur. LE CAPITAINE. » S’il en est ainsi, il faudrait la reconduire chez elle. (A Adèle) Vous avez un chez-vous ?. Anima. » J’en avais un, aujourd’hui je demeure avec des amies qui, dans ce moment, sont peut-être bien en peine de moi.’-Ln CAPITAINE. » Vous sentez-vous capable de marcher ? · ’ADÈLE (debout et chémcelante). n Ob oui, je J » ne suis plus si faible. ’ à Ln CAPITAINE. » Eh bien ! Von va vous accompagner. Numéros sept et huit, quittez ’ votre giberne, prenez le fallot, et allez avec madame ; menez-la lentement, arrêtez-vous ’ » autant de fois qu’il sera nécessaire, et veillez, surtout à ce’qu’elle ne perde pas son argent. Sergent, comptez ce qu’elle a. ’ L1 : snncnivr. » Regardez la brave femme ; ai vous- vous souviendrez bien-: dix francs que ’ » le capitaine vous donne, dix, onze, douze... quatorze, dix-sept, sept francs onze sous qu’ou a trouvés sur vous, ·en. tout, vingt-