Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/215

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DI Uîlfs MI’ !en chapelle ardente, deux prêtres en vigiles auprès du cercueil, récitent les litanies des morts. Atout, c’est du pique. — » Qu’esI ;—ce qui relève ? ’ — » C’est à toi. ’ — » J e ramasse. J — » A moi à donner. I — P » Je £l€m8DdB (lüiîlîrç C8l’ÈB5· - » Es-tu contenu ? — » Je demande encore.. Mes amis, il faut boire aujou1·d’hui ; ’ au ils boivent bien, ils ont bien bn les.... ’ — » Est-ce qu’ilS entendent ? — » Tu vois pas qu’il y 6D a un qui dort, il ». ronfle de bon cœur. ’ — » Il fait le serpent pendant que l’autre dit. ses prières. A — » C°eSt Tecevmpagnement. I -·— un Oui, le faux bmxvdnn. — » Et ; mille zieux, arrive qui plgnœ, c’e51 ; des choux ; j’ai tqnjours empoigne les clés de - l’ la cave, c’est le principal. — » Et ; moi celles de’l’office. — » Oh ! il faut nous en taper une culotte, 9 Biy il PÃB à (lil ?} q’11’CIl P¢llSBâ’t’lïU CIRBSBUT ? — » Moi, je Suis onmme le cocher, on n’a