Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/220

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un uinntoxnns requête. « votre’xfom ? lui dit-il en tirant de sa poche un carnet. · ’ ’ · — » Allëlê DBSCBPS. ’—. » Vous n’êtes pas sur ma liste ; ètes-vous ’ » seulement dans les postulante sil vous êtesvous présentée à l’administration ?’ · · - » Non, mais je suis pauvre-autant qu’il ai soit possible de l’être. =-·— » ’Ce n’est pas cela : êtes-vous inscrite ?’ — » êtes-vous attachée à l’établissementP ’-7 » Non, monsieur. — » Eh bien ! que prétendez-vous ?... L’ad•’si administration fournit les pauvres, elle fournit le drap, elle fournit les torches, elle fournit sa tout, l’administration. -· » Je ne le vois que trop, il n’y a rien à faire ici pour moi, profere Adèle, » et elle ’va se retirer ; mais la multitude obstrue les issues, et, sans pouvoir ni avancer ni recu- J ler~, elle est retenue au milieu d’un groupe, dont les divers personnages prononcent ce singulier panégyrique : — « Enfin, Dieu soit loué, on va l’enterrer ce gredin là ! — On lui fera plus d’honneur qu’à un chien. — On dit qu’il a donné dix mille francs aux pauvres. — Ils en auront lourd : ça passe par. tant de mains