Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/229

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un ’na. ’ vers son logement. Susanne, qui était aux aguets — ’ pour épier son retour, s’est aperçue qu’elle est dans une situation d’esprit extraordinaire ; allant au-devant d’elle, elle l’interroge avec ’ anxiété ; Adèle la brusque sans répondre, traverse la chambre sans regarder, et s’avance vers. la croisée dont elle saisit l’espagn olette avec un mouvement convulsif ; elle gémit, elle soupire, · elle frappe du pied, elle s’arrache les cheveux. Susnnnn. « Ah ça ! mais dis donc, Adèle, tu nous fais peur. · · W FRÉDÉRIC. » Que diable est- ce qui peut \ » lui être arrivé ? Elle souffle comme un bœuf. Une xnvnncnyrn (poussant la porte). » Estche ichi qu’on a dimandé du charbon ? ADÈLE (avec colère’). » Oui, posez-le là. Vous êtes payée... L’AUVERGNA.TE. » Je ne réclame rien. Je vous ai auchi monté du feu, comme vous mé l’avez commandé. ’ ADELE.- » C’est bien..’. vous pouvez vous I ° » retirer. ’ · - ’. L’xuvzncnA·rn. » Il y en à deux hoicheaux, la bonne mij ure, entendez-vous ? Quand il vous faudra autre choge... · · Annu. » Faut-il vous le répéter ? C’est bien., (I