Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/238

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sao ninomzs ’ HENRIETTE. » Il est mort ? ’ ’ ÀDÈLE. » J’étais là quand ils lui ont refusé i> l’entrée de l’église. FRÈDÉRIC’. » -Y/’ous l’entendez, mes amis... sa- tu le vois Henriette... il n’y a plus de coméss dien, il n’y a plus de soldats.. ADELE. » Il n’y a plus de bienfaisance, il n’y a’plus d’humanité, il n’y a plus de religion, n il n’y a plus de Dieu.... SUSANNE. » Ne dis pas cela, Adèle., . Tu veux U » donc nous attirer sa malédiction. ADELE. » Sa malédiction... ! Il y a beaux jours qu’elle est tombée sur nous... Mais à présent, ’ » je m’en moque. HE1~m1E·1°rE. » Ne blasphémons pas... s’il nous pumssa1t ADÈLE. » Eb l Ne sommes-nous pas punit d’avanceP Que t’inquiète-tuP Notre enfer est fait... FnÉnÉ1uc. » Dépêchons-nous, autrement le o » feu va s’éteindre. ADÈLE (posant le feu sur le charbon et cherchant à Yattiser). » Il n’y a pas de risque, il brûle encore... J e vais Yallumer ; ce sera fait promptement... Étes-vous résolus...P SUsANi-m. » Elle nous- ;étoufferait.. ! Au se-