Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/243

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Une femme n’est jamais si forte qu’un homme, elle n’a pas le même caractère ; je suis bien décidée, mais... FRÉDÉRIC. » Parle, mon amie ! HENMETTE. » On ne sait pas ce qui peut arriver ! je me déüe de moi ; tu vois ce chenet... Si je e han geais d’idée.... ; (lui serrant affec- tueuse ment la main) tu comprends.... -FRÉDÉl\IC. >>’ J’ai compris !.... Horrible situation !

’ Susanne. » Tout est prêt ; que faut-il faire P ADELE. ;> Rien ; se coucher et attendre. »’ (Elle se ette sur le plancher. Susanne, Henriette et Frédéric suivent son exemple ; les deux époux se tiennent embiassés.) SUSANNE. « La mort ! la mort ! Si je me couvrais la figure, il me semble que ]’en aurais moins de frayeur ;.... je ne la verrais pas venir... (Elle s’enveloppe avec un mouchoir.) HE1·u>.1E·1·’rE. » Frédéric ; mets moi mon tablier sur les yeux ; le jour m’épouvante.... ’ ÀÉÈLE-. >Ã J e veux encore le voir. ’ HENmE·r-rE. »SJe ne puis prendre ma respiration ! v · 2 SUSANNE. » Mon. estomac se gonfle ! Je suf’ » foque !