Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/263

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’ Il ’ill te feuille qu’arrondissent des traités et des billets de banque ;· que de vertus, que de considération, que de probité, que-d’honneur monnoyéslSi1·~ · sanne et Frédéric ouvrent une cassette ; elle est. remplie de montres, de colliers, de bracelets, de joyaux, de pierreries ; ils vont puiser à même le Pactole, à leurs yeux se déroulent les trésors de-Golconde ; mais par où commencer ? Pendant qu’ils hésitent, ils entendent du bruit, ils distini · gueut des « Ne bougeons pas, ¢lit-Frédéric, je crois qu’on mouton : ·, ’ Les voilà tous deux n’osant plus même respirer. On s’a-rrète à la porte : l’on essaie une clef. Quelles transes l — · - - xi Que nous avons bien fait de revenir ; vous voyez l’averse qui se prépare P — » Mais dépêchez- vous donc, madame ai Lombard, vous êtes d’une lenteur L — » Vous me donnerez peut-être bien le temps d’introduire la· clé i’ ’ ’ — >g Il me semble que j’aurais déjà ouvert n ilix fois. - ’ ’ ’ — n Ah l oui, vousêtes expéditif ; je vous · conseille de vous en vanter, quand vous étes n des deux heures à chercher le trou, ’et encore si je n’y mettais pas la main.... ’ ’ I