Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/275

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un ’ M1’. joie : alors seulement Frédéric s’aperçut qu’il n’avait plus son tablier ; un nuage d’inquiétude parut sur son front, mais il ne üt qu’y passer, et sa gaîté reprit son cours. On s’occupa de compter les espèces ; le total s’élevait au-delà de toutes les espérances. Fnéntmc. « Au moins, cette fois, il nous en restera, nous n’aurons pas à passer par les un griffes des receleurs.. SUSANNE. » Il faut gouverner notre barque de manière à ce que cela nous fasse vivre heu :. I » reux. ADELE. » Et honnêtes, j’en reviens tou>> jours là. Hnumnrrn. » Cela va sans dire ; est-ce qu’on peut être heureux sans ça ?-ADÈLE. » Il n’est’rien de tel que de pouvoir aller tête levée et de n’avoir rien à personne. A propos, mes enfants, vous n’ignorez pas que nous avons une dette à acquitter ; elle est sacrée celle-là : d’abord demain matin, ce sera ma première sortie ;.... j’irai leur porter un billet de mille francs. FRÉDÉRIC. » A qui donc ? · Anima. » ’Vous ne vous rappelez pas ce que ’ nous avons promis ? · ’