Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/282

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au rdnense ’ Le Commsamt xs Il paraît que l’on ùit. bombance dans cette maison (apercevant une tabatière) ; si je ne me trompe, voici déjà l’un des objets mentionnés au procès-verbal, vérifions : une boîte en écaille avec son cercle en or ; sur le couvercle, le portrait de nadame Lombard enchâssé dans un médaillon ; au revers les’chiffres entrelacés des deux époux, en cheveux, duœmps qu’ils en avaient, avec un cœur enflammé et une pensée dans un nœud d’amour. C’est bien cela, reyardez, messieurs ; savez-vous qu’elle n’a pas été mal n madame Lombard ! vous jugez commemui, que c’est parfaitement conforme à la description P..... ’ ’ UN mas ASSISTA.NTS· •>’ Il n’y a pas à en douter. Le Commissmnn. » Ainsi nous avons trouvé ’ » les voleurs, (A Frédéric) Connaissez-vous le nommé Jacques’Richard, dans la rnedes ’ — » Gol)elinS il-Fnânizmc. » J’ai connu un. compagnon qui s’appelle Richard, mais il restait au faubourg Poissonnière. · A LE Connnssunn. n C’est· le même. N’avez’ » pas eu quelque chose qui vous venait de lui ? ~ FRÉDÉBIC (à part). » Le tablier qu’il m’a vendu.