Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/286

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sn ntnoxnis LA name : (dont le trouble devient de plus en plus visible). » Je ne vous comprends pas ;-Fxmum LAcxm310U1LLe. » ’Que si, -que si, un vous comprenez bien (à Coco Lacour) : c’est rn une particulière qui entrave (qui parle argot) mieux que toi zet moi. — C000 Lacour (avec vivacité u Py suis ; - » vous êtes Yancienne femme ’à Serouge, vous vous appelez Adèle d’Escars ?. LA une (balbutiant  » Moi ! moi ! vous vous trompez, je ne porte pas ce nom là. Fmrm LLQBENOUILLE. u T’as raison, Coco ; ’ » c’est Adèle... C’est elle, comme je dois mouix rir un jour. Coco Laconn Passant la main sous le panier de la dame et le soulevant). » Je gage qu’il y a de la contrebande là-dedans ; cela sonne le fer., Voyons un peu que je m’en assure. ’ LA mme. » Je vous en épargnerai la peine. » (Elle ouvre son panier et y prend un trousseau de clés avec un paquet de reconnaissances, qiliclle lance au milieu de la chambre). n Oui, ie suis Adèle. Qu’en est-·ili’. LE couixxssxunz. » Elle fera la quatrième ; LE PBlGABI !2l· » La contredanse cet ¤em•• ia plète.. · I