Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/375

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

un ivxnoeç. ’un au coûterait chez vous un’an de nourriture et de ’ »· logement pour sa seigneurie d’abord ; ensuite pour cinq domestiques, quatre chevaux et des chiens avec lesquels il se propose de chasser le renard. ’ — » Cela exige réflexion ’ u -« » Réflechèn, né pas réflechèn, — parlez » ’ s » incontinent. »’ Eh bien ! quinze mille francs, c’est-il ’ — » Quinze mille fra-ncs..’..., ah ! prâve hofnme..., le probité à vo, il mérite dévan- teiche et le probité à mo-a il commande avec · ’ » l’estime de’vo, éne gratificachein relatife à mon pienfeillience ; nos autres habitants de la Grand - Britanie, nos avons continouallement qune calcoulâchen de tête et oune calcoulâchen de l’ame. Le ealcoulâchen de tête, il est Yéconemy, le calcoulachén de l’ame, le libéralité ; vo. avez entendement, ’mossio l’hôte ? l’éconemy il dit quinze ; lé ’>> libéralité, il dit vingt avec cinq encore, vmgt-cmq. ’ — » vous êtes trop bon, milord. — » ·Non pas bonty, le résideince à votre auperche, elle était bocop réjoîssante por ein