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Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/377

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’nt vmocç. ne ’

n phile, John rappelez à ; mo-à por faire hytro ; ph-ile mossio ; savez-vo, mossio Yauperche que vo-avez oun soleil tot-à-fait à mon fantasie, oune molt plaisante ua turaliti de situa cheu sor la terre, oun zéphir très appétissante per le digérement, avec dans le haut oune perpétoualle n agréabiliti dé perspective dé séehour dé pieu. horeuxil por tote ces ravisse mente qui guéri- J rai à mo-a· mon mélancolie, ché donne à vo vingt - cinque mille francs ; répondez, vo ii prénez vingt-cinque mille francs ? ’ — » Votre générosité, milord, va beaucoup] au-delà de mes prétentions..

— » Ahl vo acceptez. ’.

— » Je ferai tous mes efforts pour que vous » p soyez content. ’ · ’ · 4

=— » Vo volez faire contente mo-a ? ah !... John donnez mon trésorv dé voyage. ’ » W ’ John tire du secrétaire un énorme sac et le remetà son maître, qui y prend à poignée des pièces d’or qu’il range par cent francs suri latable, lorsque quinze piles sont formées, milord rend le sac à John’, et-lui demande un ’ bonnet de coton. C’est l’approche du’dénoue—. meut que signale un dernier : trait-d’origi11àIité.-Certainement lia aubergiste ne demande pas mieux ’ Tom : iv. s i sniff