Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/39

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un mcncbq. si Le Cnnvanmni. cx — Mi>nsieur, je suis le marâquis Duboisiwelez, ancien’- émigré, ayant donné des preuves non équivoques de mon attachement à la famille des Bourbons. M01.- » Cela vous. fait honneur, monsieur, ou mais de quoi s’ag-it-il ? ·’ ° LE CHEVALIER » Je vietfs ici pour vous prier de vouloir bien faire rechercher et 0 arrêter sur-le »cl-xamp mon domestique, qui est disparu de. chez moi avec une somme de trois mille sept cent cinquante francs et- une il montre d’or guillochée, à laquelle je tiens beaucoup. · ’ Moi. w Est - ce la tout ce qui vous a été volé ?’*. LE Cimvsmnn. » Jgle présume. MMQAME. ·i> Il nous aura sans doute pris autre Chose ; vous sàvez bien, marquis, que depuis long-temps il n’y avait pas de juur qu°îl ne vous manquât tantôt un objet, · zîlêhtôt un autreb l’Q Ln Guàvanxnnu » (Test vrai, madame’la’ marquise, mais pour le moment ne récladi mons que nos trois mille sept cent cinquante francs et la montre. D”abord’la montre, il me la- f8IÉ(1, —à quelque prii que ce. soit. Il