Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/51

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"" il vxiooç.. sa -· » Des lenteurs pareilles, lorsqu’il y a pé-. ril’ ! enfin, ma femme est ma femme : chaque jour, chaque nuit le défit devient plus conséquent. Je suis mari ; je suis outragé ; je suis dans mon droit. Elle n’aurait qu’à me laire des enfants., qui sera le père ? ce ne sera pas le père}, ce sera moi. Non, puisqu’il n’y a plus de divorce, la loi doit avoir prévu.·... ? » · — » Eh I monsieur, la loi n’a rien prévu, il ’ y à une forme prescrite, et l’on ne peut pas au s’en écarter.. — » Elle est jolie, la formel s’il en est n ainsi, c’est bien le cas de dire que la forme emporte le fonds. Pauvres maris I — » Je sais bien que vous êtes à plaindre, mais je n’y puis rien ; d’ailleurs, vous n’étes pas le seul. -· » Ah I monsieur Jules, vous qui êtes si obligeant, rendez-moi le service de les faire arrêter- aujourd’hui même ; prenez cela sur vous, je vous en conjure, ne me refusez pas, vous verrez que vous n’en serez pas fâ-Cllél I — » Je vous répète, monsieur, que pour faire ce que vous désirez, il me faut un man-g~ ’ dat de l’auto rit.é judiciaire.