Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/57

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un VIIIGGQ. 49 — » Monsieur le duc à une grande nouvelle à vous donner. —· » Ah ah ! oune grande novelle ! vo avez trové ? vo povez dire devant mossio, mossio est oun Becoot, il était ma journélle, vo avez •• trové, véridiquement trové. ! · Voyons, monsieur le duc, racontez à · ces messieurs ce qu’il en est. -·— » Ies, les, racontez oun po mossio lé douque. · — » Eh bien oui ! j’ai trouvé, et pour peu que vous le désiriez, je m’engage à vous ° les montrer tous les deux dans le même lit. -4- » Dans la même lite ! s’écria le frère de M. Becoot ; c’était oun miracle, vo étes SOI’cière donque, mossio le douque. — » Je vous jure qu’il n’y a rien de sorcier là-dedans, tout cela n’est que de la physique. —· » [es, ies, de la phessique (riant), ah, ah, ah, choli phessiquel -· » Puisqu’i]s couchent ensemble. · ’ — » [es, ies, natoural, beaucop natoural ; dans la même lite, charmante cohabitachen, charmante l » charmante ! répétait en s’exta•~ I siant le beau frère de madame Becoot, dont le. mari qui se pàmait presque. d’aise, exprimait Tome xv. Ã