b. Opercule des Poissons.
Afin de faciliter les recherches, nous séparons des autres travaux sur le crâne, et nous réunissons, sous un titre commun, toutes les publications de Geoffroy Saint-Hilaire sur l’opercule.
Bull. philom., ann. 1817, 125 ; trad. en partie, Deutsch. Archiv für die Physiol., IV, 269 ; 1818.
Bull. philom., ann. 1817, 185 ; trad., Deutsch. Arch. für die Physiol., IV, 271 ; 1818.
Les recherches et les résultats que résument cet article et le précédent, ont été, un an plus tard, exposées avec tous les développements nécessaires dans le t. Ier de la Philosophie anatomique.
Ann. des sc. nat., I, 463 ; 1824.
Mém. du Mus., XI, 143 ; 1824.
Dans ce Mémoire, comme dans la note précédente, l’auteur réfute Weber qui avait considéré quelques pièces mobiles, dépendant de la colonne vertébrale, comme les représentants, chez la Carpe, des os de l’oreille.
Dans les deux articles qui vont suivre, l’auteur, revenant sur le même sujet, fait connaître que Huschke avait, avant lui, rejeté la détermination de Weber, et donné la véritable signification des prétendus osselets de l’ouïe. Il existe toutefois, sur un point, entre Huschke et Geoffroy Saint-Hilaire, une légère dissidence qui ne rend pas moins remarquable la concordance des résultats obtenus sur une question aussi difficile par deux anatomistes, procédant par des méthodes très-différentes.
Mém. du Mus., XI, 258 ; 1824.