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Page:Vie et conversation de la Bonne Armelle, 1842.djvu/73

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7. Ô monde ! tes faux biens, tes plaisirs, tes richesses,
Ton éclat, tes honneurs, tes perfides caresses,
Ne sauraient m’attacher ; je romps tous ces liens ;
J’abandonne, gaîment, le monde et ses faux biens.


8. Je te fuis, monde vain ! et ton commerce impie ;
Désormais, à Jésus, je consacre ma vie.
Il règne sur mon cœur, en maître souverain ;
Jésus est tout pour moi : je te fuis, monde vain !