Page:Vielé-Griffin - Joies, 1889.djvu/44

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Le mai-fleuri s’ébranle au poids gai des guirlandes ;
Encore un couple, encore une torsade au faîte ;
Des fleurs et des fleurs ! qu’on ravage les landes,
Qu’on se joigne à la ronde et que dure la fête :
Il est pour tout pleurer des larmes de poète.