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Page:Vielé-Griffin - La Chevauchée d’Yeldis, Vanier, 1893.djvu/32

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Comme la Pensée et sa joie,
Comme la tienne vit, ce soir,
Sage en tes jeunes vingt années,
Comme sa sagesse étonnée
Du radieux mystère d’être —
Et telle qu’en elle je peux renaître.